Parano or not parano ?
Suite à mon dernier billet et à vos nombreux commentaires, j'aimerais préciser une ou deux choses...
Je comprends parfaitement le paradoxe que certain(e)s d'entre vous ont soulevé, à juste titre : on ne peut pas écrire publiquement et se plaindre d'être lu ! Et on peut encore moins contraindre un lecteur silencieux à se manifester, je suis bien d'accord.
Il y a pourtant, dans ce qui nous préoccupe, Ségolène et moi, des aspects très troublants, que nous avons remarqués et surveillés chacune de notre côté pendant un certain temps, avant d'en venir aux mêmes conclusions et se décider à réagir.
Par ailleurs, sur la centaine de lecteurs qui passent ici chaque jour, je pense savoir faire la différence entre quelqu'un qui reste sur une même page parce qu'il est occupé ailleurs, et quelqu'un qui épluche les notes de façon méthodique en y revenant plusieurs fois par jour, presque toutes les heures, et ce depuis des semaines...
Alors, oui, peut-être que les mésaventures de Lamere m'ont rendue plus méfiante, plus "parano", ce n'est pas impossible. Il est vrai que je n'ai reçu aucune insulte, aucun commentaire ordurier ni menace de quelque sorte que ce soit, et qu'après tout, je ne risque finalement pas plus de choses ici que dans la vraie vie. Pas moins non plus.
C'est juste cette ombre anonyme déployée au dessus de ma tête, et dont je ne connais pas les intentions, qui me dérange...
Alors promis, je range ma parano, je la mets dans ma poche avec mon mouchoir par dessus. Vous n'en entendrez plus parler. Mais j'en aurai bientôt le coeur (inter)net...
;-)