14 février 2006
Bonne nuit, mon Valentin
Tu viens de t'endormir sur le canapé du salon, harrassé de fatigue et la peur au ventre à quelques jours de ton départ...
Je suis intimement convaincue que nous nous retrouverons... si nous devons nous retrouver...
Dans le cas contraire, c'est que nous avons, toi et moi, autre chose de meilleur à vivre ailleurs, forts de tout ce que nous aurons appris ensemble...
J'ai une foi absolue en la vie, elle ne nous envoie rien par hasard.
Je t'aime.
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A